Dolmen |
Nous
faisons un crochet pour passer au gîte et y déposer nos sacs. C’est une maison
sur plusieurs niveaux, située un peu à l’extérieur du centre. À lire les
différentes ardoises sur lesquelles sont écrites toutes les recommandations,
nous comprenons que nous avons à faire à des hôtes organisés, voire même
pointilleux et qu’il va falloir respecter scrupuleusement les consignes. Sur
l’une des ardoises, il nous est demandé de quitter chaussures et bâtons avant
d’entrer et de les placer dans les casiers et râteliers prévus à cet effet, sur une autre le pèlerin
est prié de retourner et secouer son sac à viande et de le pendre sur un fil à
linge jusqu’à la nuit. Il faut dire que sur tout le Chemin, il y a chez les
hébergeurs une véritable psychose de la punaise de lit. Ces consignes ne me
gênent aucunement ; elles présentent le mérite d’être pratiques et
claires, car d’un gîte à l’autre les règles ne sont jamais identiques. Dans
certains nous devons laisser les godillots à l’extérieur, dans d’autres, rien
ne s’oppose à ce qu’on les garde jusqu’à la chambre. Nous veillons à respecter toutes
ces règles, puis après la douche, non sans nous être assurés que le robinet était
bien fermé, nous regagnons la ville pour en faire la visite. Les rues sont
bordées de maisons pittoresques, dont la
plupart datent du moyen-âge à l’image de
« la Maison de l’Hébrardie », vestige d’un ancien château. À la
sortie, un long pont suspendu permet de
franchir le Lot.
Dîner avec Pierre |
Belle pièce ! |
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